La backpressure ou contre-pression en français, est un critère important pour beaucoup de joueurs de didgeridoo. En effet, il permet à lui seul de juger si un instrument est plus ou moins facile à jouer. Mais qu’on se le dise, on lui donne beaucoup trop d’importance ! Je vous en parle dans ce premier épisode solo des Podcasts de Wakademy !
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Crédit photo: Olivier trubert
Bien agréable cette voix et précisions bien utiles ma foi… ; )
Merci Gauthier d’autant d’implication et de passion : )
Merci Valérie ! Je suis entrain de tomber amoureux de ce format audio, c’est tellement pratique pour diffuser ses idées !
Bonjour Gauthier, je crois que c’est la chose la plus constructive que j’ai entendu sur le didgeridoo. ?
Super Gauthier !!!
Merci pour ce podcast, tu as raison c’est vraiment génial de pouvoir t’entendre comme ça comme à la radio.
Et puis j’adore entendre ta vision des choses par rapport à cet instrument de magnifique qu’est le didgeridoo.
Franchement j’en veux d’autres !!! j’en veux d’autres !!!
Tu as une vision vraiment particulière de cet instrument.
Tu me permets d’y voir autre chose qu’un simple bout de bois.
J’ai adoré ton discours sur » l’instrument c’est vous », » se reposer sur le didgeridoo est une béquille »…
Dans cette petite niche qu’est le didgeridoo, je trouve ça important de pouvoir partager nos visions, c’est tellement enrichissant !!!
Encoreeeeeeee !!!!
Gros bisous
Merci Jaime ! Compte sur moi pour continuer !! 🙂
Alors je vais essayer de continuer à papoter. 🙂
Merci Lorys pour tes encouragements.
Bonsoir Gauthier,
j’ai écouté ton podcast sur la backpressure. Tu nous en avais parlé lors de notre stage, suite à tes commentaires je me suis empressé à mon retour de stage de me fabriquer un didgeridoo cylindrique. C’est un SI longueur de 1m65 avec une cloche de 1O cm. Il est en aulne.
Je suis habitué à jouer sur un conique et je me suis aperçu qu’il me fallait un certain temps d’adaptation pour jouer sur une forme cylindrique ! En effet, il ne suffit pas d’envoyer la pression tout au contraire il faut le travailler tout en finesse. Une fois que l’on a compris, il dégage un son envoutant et très agréable à jouer.
En conclusion, si je peux me permettre, je ne crois pas que les coniques nous incitent à la paresse. Ils nous offrent un jeu complètement différent. Il est impératif au choix d’un didgeridoo de savoir ce qu’il en est.
Me concernant, quand je suis allé chez Grégory pour en essayer plusieurs j’étais surpris de ne pas pouvoir sortir le bourdon sur certains didges. Mon choix a été simple, j’ai pris celui avec lequel je pouvais jouer. C’est seulement maintenant que je comprends pourquoi je ne pouvais pas avoir le bourdon. Avoir les deux formes me semble être la solution finale.
Salut Gérald,
Effectivement, tu as raison de mettre des nuances. Je suis toujours un peu tranché dans mes idées. Le didgeridoo conique a bien sûr de belles qualités. Et un didgeridoo équilibré est souvent le juste milieu entre ces deux formes.
Dans tous les cas, avoir des didgeridoos franchement différents est très formateur. Ça permet de mieux se situer !
Hello Gauthier,
Bah, c’est super tout ça Gauthier, super intéressant, sauf que pour moi c’est un peu trop tôt tout ça, j’en suis qu’à la page 60 de ton livre et j’arrive au bout de deux mois à avoir le souffle circulaire. Tout ça grâce à toi… et un petit peu a moi, car je m’y attèle tous les soirs. En tout cas j’avance tranquillement et merci pour tes conseils. Je suis toujours sur mon tube PVC, mais je kiffe tellement que je reviendrais vers toi pour quelques conseils pour un achat sérieux d’un vrai Didge à la rentrée et compte bien par la même occasion prendre les cours en lignes. j’ai préféré commencé par le PVC car je ne savais pas si j’allais y arriver, mais je tiens le bon bout. Merci encore.
Très heureux de lire ton message SaïSaï ! Dès que je vois que je motive un joueur ou une joueuse à souffler, je suis vraiment heureux. 🙂
Et c’est surtout grâce à toi que tu as le souffle, tu peux être fier de toi. C’est toujours un grand moment quand on passe des paliers comme celui-là !
Salut Gauthier,
Analyse très intéressante et pertinente de surcroit….je me suis aperçu à travers ce sujet qu’en évoluant dans ma pratique , je n’ai quasiment plus que des formes cylindriques….Par ailleurs, on pourrait penser qu’une personne qui débute sera plus facilement mis en confiance avec une back pressure plus élevée en ce sens qu’elle peut accéder plus aisément à certaines sensations et une mise en confiance plus aisée, plus rapide….ceci étant, rappeler que le corps est le moteur et le didgeridoo l’écho de cet être, me semble très important, voire fondamental ….comme tu le stipule, jouer avec un didgeridoo où la colonne est plus ouverte, offre une infinité de potentialités (recherches, remise en question, …) sur le jeu. Maintenant, tout le monde n’est pas forcément sur cet axe de travail…..d’où une forme d’assurance et de repos sur un didgeridoo avec une pression élevée (vivre sur ses acquis)….en tous cas, merci pour ce podcast qui incite à la réflexion et la remise en question ! ou pas d’ailleurs…..Olivier
Salut Olivier !
J’y suis allé un peu fort. 🙂 Je précise quand même que la forme conique a de beaux avantages. Et bien sûr, tous les joueurs qui jouent cette forme ne sont pas des feignants ! 🙂
C’est surtout le fait que les didgeridoos coniques représentent un énorme pourcentage de la production de didgeridoo… Plutôt dommage !
Mais avec le temps, je vois que ça progresse beaucoup quand même. En 15 ans, les choses ont déjà beaucoup changées (au moins en France).